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Dossier temps des Fêtes

Voici nos suggestions de recettes pour un menu des Fêtes savoureux, simple et convivial !

1. Trempette aux épinards, saucisses Bacon & Cheddar

2. Tournedos de bœuf Wellington

3. Tourtine au tournedos de bœuf et à la saucisse Bratwurst

4. Boulettes suédoises style Ikea

5. Bouchées de saucisses, fromage de chèvre et cantaloup

6. Saucisses farcies aux canneberges

7. Bouchées de saucisses wonton

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Le BBQ : un essentiel à nos étés

Quoique les produits offerts par l’Atelier gourmand se préparent à merveille sur la cuisinière, le BBQ en rehaussera toujours les saveurs.

 

Voici nos meilleurs conseils pour faire de vos grillades un succès à tous les coups !

 

Des grilles propres avant tout

Avant toute cuisson sur votre BBQ, vous assurer de la propreté des grilles est de mise. C’est ainsi que vous éliminerez les résidus de cuissons précédentes et que vous optimiserez les fonctionnalités de votre BBQ.

Saviez-vous que pour ses effets prouvés comme étant néfastes sur la santé, la brosse en métal est déconseillée ? Nous vous invitons à découvrir des solutions simples et économiques à la traditionnelle brosse, pour vous assurer la manipulation sécuritaire de vos aliments pour vous, votre famille et vos amis.

photo : Pinterest

 

Une question de préparation

Faites comme un pro du BBQ : tempérez vos viandes avant de les mettre sur le gril. Plus elle est tempérée (sans négliger les mesures de sécurité alimentaire), plus la coloration sera belle et uniforme.

 

Préchauffer son BBQ de 5 à 10 minutes avant d’y déposer vos pièces de viande est également un conseil de plus à glisser sous votre toque de chef amateur. Notre promesse : des résultats dignes des grands restaurants de grillades, en direct de votre cour arrière.

 

Nos tournedos de bœuf canadien AAA peuvent être tempérés jusqu’à trente minutes avant leur cuisson.

 

 

Le B.A. – BA d’une cuisson parfaite

Que vous souhaitiez cuire de la saucisse, des tournedos de bœuf, ou encore du coq au porc ; éviter la calcination de vos viandes est le premier secret d’une cuisson parfaite. La cuisson à chaleur indirecte vous aidera à mieux distribuer la température, éloignant aussi toute frustration qu’amène la vue de vos pièces préférées dévorées par les flammes.

 

  • Pour le BBQ au gaz : allumer un côté et cuire de l’autre, à couvert fermé.
  • Pour le BBQ au charbon de bois : disposer les charbons chauds d’un seul côté et cuire du côté opposé à couvert fermé.

 

Manipuler ses pièces avec soin

Une bonne paire de pinces et une spatule sont les fidèles alliées de vos cuissons sur le BBQ. Oubliez les fourchettes : piquer une pièce de viande créée une sortie pour les jus de cuisson — essentiels au goût et à la tendreté. Résultats : une viande sèche, plus coriace et moins goûteuse.

Accompagner en toute simplicité

Et si l’on simplifiait ces fameux accompagnements au BBQ ?

 

Pendant la cuisson de vos pièces de résistance, coupez grossièrement les légumes que vous avez sous la main (courgettes, oignons, choux-fleurs, poivrons, etc.) et badigeonnez-les d’huile végétale, de sel et de poivre pour finalement les faire cuire de 2 à 3 minutes de chaque côté sur la grille. Agrémentez-les de quelques feuilles de basilic ciselées et de copeaux de parmesan, et le tour est joué : vos convives s’en lécheront les doigts !

 

Aussi, les brochettes et papillotes ont toujours la cote : garnissez-les de pommes de terre, de légumes frais, de beurre et d’assaisonnements avant de sceller l’enveloppe de papier d’aluminium, et laissez cuire sur la grille une vingtaine de minutes, selon les légumes choisis.

 

Photo : Chatelaine

Faire reposer la viande

Est-ce essentiel de faire reposer la viande ? Absolument !

 

On doit néanmoins vérifier la cuisson de sa viande avant d’en faire autant : puisqu’elle continue de gagner en degrés pendant les premiers instants de repos, une surcuisson pourrait en résulter.

 

Pour des portions individuelles ; laissez reposer sous un papier d’aluminium (environ 5 minutes) afin d’empêcher à la viande de perdre trop de sa chaleur. Et pour les pièces plus costaudes, n’ayez pas peur de laisser reposer jusqu’à 30 minutes.

 

Pourquoi faire reposer la viande ? Cette période de repos post-cuisson permet aux jus de se distribuer également dans la chair : ce qui confère à vos pièces une tendreté et un goût exceptionnels. Essayez-le une fois : vous serez stupéfait de la différence.

 

Le thermomètre : superflu ou bienvenu ?

Le thermomètre de cuisson est un outil de référence sans pareil. Selon le type de viande, il donne l’heure juste quant au moment où sa cuisson est parfaite. D’excellents thermomètres se retrouvent d’ailleurs dans la plupart des marchés, supermarchés et magasins à grande surface, et sont représentés par différentes marques et fourchettes de prix.

 

Salivez-vous déjà à l’idée de faire de vos prochaines grillades une réelle expérience gustative?

Passez chez votre épicier dès aujourd’hui pour vous emparer de pièces de viandes fraîchement coupées et marinées avec amour chez Dalisa et demandez conseil aux bouchers sur place pour avoir les meilleurs résultats : promesse d’un repas qui vous couronnera reine ou roi du BBQ !

 

 

Idées de recettes à faire sur le BBQ :

Tournedos de bœuf mariné au basilic et poivre

 

Tournedos de bœuf, fromage Migneron et légumes

 

 

Tournedos de bœuf au miel et épices à steak de Montréaltournedos de boeuf mariné miel et épices montréal

Paella à la saucisse

 

Saucisse sauce à la bière

 

Flammekueche à la saucisseFlammekueche à la saucisse

 

Coq au porc à l’indonésienne

Coq au porc au cidre

 

Coq au porc façon shish taouk

coq au porc façon shish taouk

 

Notre mission est de regrouper de talentueux passionnés de l’alimentation dans le but d’offrir l’inspiration culinaire simple, unique et savoureuse.

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Un menu de Noël festif pour vos invités… et vous!

C’est à votre tour d’être l’hôte pour le repas de Noël ? On a un secret pour vous : c’est possible d’en profiter, même si vous recevez. Dalisa vous invite à planifier, dans la simplicité, un menu qui saura ravir vos convives, tout en vous laissant assez de ce temps précieux pour savourer chaque bouchée et chaque moment. N’est-ce pas là la meilleure définition d’un souper de Noël réussi ?

Délicieux et simple : un duo rempli de promesses

On pense souvent que pour se mériter les compliments des nôtres, on doit s’affairer au fourneau pendant des heures. Chez Dalisa, on croit qu’il est possible de combiner repas délicieux et simplicité, pour que vous puissiez vous aussi profiter de ce moment de réjouissance avec votre famille et vos amis.

En réfléchissant à votre repas de Noël à l’avance, vous pouvez définir le temps et les ingrédients nécessaires pour sa réalisation — qui n’a jamais eu à retourner à l’épicerie deux, trois ou même quatre fois parce qu’un des ingrédients sur la liste manquait ? Une fois la liste des invités complétée, attaquez-vous à l’élaboration de votre menu. Surtout, tentez de vous souvenir de la dernière fois que vous avez reçu à Noël : vous étiez-vous mis trop de pression sur les épaules à cuisiner des recettes qui nécessitent une préparation colossale ? Vous n’impressionnerez personne parce que vos repas ont pris des heures à préparer. Évitez-vous ce stress en prévoyant un menu à la fois simple, délicieux et dont les petits et grands seront ravis.

Des astuces pour un souper de Noël réussi

  1. Pensez aux allergies et aux intolérances des invités. Envoyer un appel à tous avant même d’élaborer votre menu !

À savoir : DALISA propose une saucisse italienne douce sans gluten vendue chez IGA et Walmart (emballage de 6 saucisses) pour des invités qui ne peuvent consommer de gluten !
 

  1. Ayez en tête le nombre d’invités le plus tôt possible.
  2. Pensez à choisir un menu qui vous permettra de rester à table avec vos invités. Pour cela, choisissez des plats qui peuvent soit attendre, ou soit être réchauffés. Préférez les plats mijotés — ils sont toujours meilleurs réchauffés.
  3. Préférez les recettes que vous connaissez bien. Si vraiment vous souhaitez expérimenter une nouvelle recette, testez-la avant en famille.
  4. Mettez-y de l’amour ! On cuisine toujours mieux en y prenant du plaisir.
  5. Choisissez un plat principal qui peut se servir à table (à la bonne franquette !). Vous mangerez un repas chaud tous en même temps, et vous resterez près de vos convives.
  6. Maman s’offre pour apporter le fromage ? Votre beau-frère veut amener la bière et le vin et votre tante se propose pour amener la bûche ? Dites oui ! Il y aura ça de moins à penser – et à dépenser !

 

Recettes simples de repas et de bouchées

En manque d’inspiration ? Voici quelques idées de bouchées et de repas principaux, qui vous feront saliver à la simple lecture de leurs recettes !

 

Bouchées :

Brochettes de saucisses à l’ananas et au chèvre

Champignons farcis à la saucisse Échalotes & Vin blanc

Saucisse Jambon & Érable confite, pour accompagner fromages et pâtés

 

Entrées et repas principaux:

Chaudrée à la bière et à la saucisse Bacon & Cheddar

Roulades de courgettes aux noix et saucisses

Coq au porc au vin blanc et poireaux

 

 

À vos listes !

Une fois votre menu décidé, la seconde partie de l’organisation de votre repas des Fêtes consiste à créer votre liste d’épicerie ! Pour cela, il vous faut déterminer les ingrédients, sans oublier les quantités ! Pour régaler et rassasier vos convives, c’est essentiel — et trop souvent oublié. Si vous avez opté pour une formule de bouchées (notre recette de brochettes de saucisses à l’ananas et au chèvre vaut vraiment le détour !) pensez à calculer le nombre de bouchées à prévoir par personne, incluant les enfants !

Cuisinez ce que vous pouvez à l’avance

Étaler la confection de vos repas sur plusieurs jours (ou plusieurs semaines) est essentiel pour ceux et celles qui souhaitent éviter tout stress pendant les Fêtes.

Vous pouvez par exemple décider de couper vos aliments à l’avance et les conserver au réfrigérateur. Organisez aussi vos tâches pour le repas de Noël sur un papier : un plan étapes par étapes pour ne rien manquer et surtout : être efficace. Pensez à faire de la place dans votre congélateur et dans votre réfrigérateur pour y ranger les plats cuisinés à l’avance.

Entourez-vous !

Votre sœur ou votre cousin s’offrent pour vous donner un coup de main dans la cuisine ? Profitez de cette chance pour déléguer certaines tâches sur votre planification, et pensez vous réserver une bouteille de vin pour la partager avec vos commis de cuisine. Préparer le repas de Noël en famille, c’est un prétexte excellent pour se mettre dans l’ambiance des Fêtes, se remémorer vos souvenirs des Noëls passés.

Savourez aussi le moment

Que vous ayez décidé de servir des bouchées pour Noël, ou encore un repas principal à partager autour de la table, l’important c’est de savourer plus que vos délicieuses recettes. Il faut aussi savourer le moment avec vos êtres chers. Nos idées de menu de Noël ne sont pas seulement de délicieuses recettes, mais également une invitation à profiter des instants mémorables avec votre famille, enfin réunie.

Dalisa aime l’idée de réunir votre famille à la table dans de tels contextes, tout au long de l’année, grâce à ses produits et ses recettes. En ce temps de partage, toute l’équipe vous souhaite santé, amour et paix, ainsi qu’une nouvelle année remplie de doux moments !

 

 

 

 

 

 

 

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Conservation, congélation et décongélation des aliments

Le coût du panier d’épicerie augmente chaque année au Québec. Il y a plusieurs façons d’économiser sur sa facture d’épicerie et cela commence par se faire une liste d’épicerie selon les soldes de la circulaire et de s’y tenir. Si vous suivez notre page Facebook, vous remarquez sans doute que nos produits se retrouvent souvent en promotion, que ce soit chez Costco, Maxi, Wal-Mart ou Provigo.

 

Il arrive de vouloir acheter une grande quantité d’un certain produit alimentaire pour des fins d’économies, ce qui est tout à fait une bonne idée. Il arrive aussi malheureusement de voir la date de péremption approcher trop rapidement.

 

Voici quelques trucs pour conserver vos saucisses, ou tout autre aliment, frais plus longtemps :

 

Le sous vide

La mise sous vide consiste à enlever l’air d’un emballage afin de conserver un produit frais plus longtemps. L’aliment se retrouve alors dans un environnement stabilisé, dans un emballage étanche et loin des bactéries pouvant affecter sa durée de vie.

 

Il existe des outils de qualité professionnelle pour emballer sous vide tout aliment cuit ou cru. Malheureusement, ces machines peuvent rapidement coûter plus de 100 $ et encombrer vos armoires. Il existe une alternative gratuite et fort simple qui consiste à utiliser la pression de l’eau pour retirer l’air d’un emballage. Pour procéder, il vous faudra un sac de congélation de type Ziplock, un récipient profond et de l’eau, tout simplement.

 

Voici la technique :

  • Inscrire la date et la saveur des saucisses que vous mettez sous vide sur le sac de congélation.
  • Remplir un récipient, ou votre évier, d’eau froide.
  • Mettre les saucisses dans le sac de congélation sans le fermer.
  • Plonger le sac dans le récipient d’eau jusqu’à la fermeture. Attention de ne pas mettre d’eau dans votre sac. Ici, la pression de l’eau va faire sortir l’air du sac. Refermer le sac en le maintenant dans l’eau.

Une fois emballés sous vide, les aliments peuvent se conserver au réfrigérateur de 1 à 2 journées supplémentaires. Il est aussi possible de congeler vos sacs sous vide.

 

 

La congélation

Puisqu’il n’y a pas d’air dans vos sacs de congélation emballés sous vide, les aliments resteront plus frais au congélateur versus un aliment mis au congélateur dans sa barquette de styromousse. En enlevant l’air, on évite ainsi les « brûlures de congélateur » sur les aliments.

 

À la maison, si vous avez un congélateur avec givre, vous pouvez conserver les saucisses jusqu’à 6 mois. Par contre, un congélateur sans givre conservera frais les produits moins longtemps. Nous recommandons jusqu’à 3 mois maximum, en raison de la ventilation de ce type de congélateur. Après la durée de conservation suggérée, les saucisses congelées seront toujours bonnes à être consommées sans risque pour la santé, par contre, leur goût et leur texture pourraient être altérés par une trop longue exposition au froid.

 

La décongélation

Il existe 2 méthodes pour décongeler les saucisses, une méthode express et une qui prend toute la nuit.

  • Méthode de décongélation rapide

Si, comme plusieurs, vous êtes plutôt dernière minute pour cuisiner le repas du midi ou du soir, vous allez aimer la méthode express qui ne prendra qu’entre 15 et 45 minutes pour dégeler. Il vous suffit d’immerger le sac Ziplock qui contient les saucisses dans un récipient d’eau à 10°C. On ne veut pas plonger le produit congelé directement dans l’eau chaude pour ne pas créer un trop grand changement de température rapide. Pour aller encore plus rapidement, on peut mettre le récipient dans l’évier et laisser couler un mince filet d’eau sur les saucisses emballées. Avec cette technique, on peut s’attendre à avoir des saucisses prêtes à cuire en une vingtaine de minutes. Sinon, dans le récipient sans filet d’eau, compter jusqu’à 45 minutes pour une décongélation totale.

 

 

  • Méthode de décongélation lente

D’un autre côté, si vous planifiez votre repas la veille, vous pouvez tout simplement laisser les saucisses, dans leur contenant, au frigo toute la nuit et elles seront prêtes à l’emploi le lendemain.

 

Voyez les techniques juste ici :

 

Bon appétit !

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5 trucs pour faire cuire vos saucisses à la perfection dans une poêle

Les saucisses fraîches sont délicieuses et faciles à apprêter quand on sait s’y prendre. Elles sont disponibles presque partout et sont souvent en promotion  dans une épicerie près de chez vous. Elles s’accordent à plusieurs types de repas de par leurs saveurs diversifiées tout autant sucrées que salées : bacon & cheddar, Italienne, Toulouse, jambon & érable, Mexicaine, etc. Elles se consomment à l’apéro, en entrée ou comme repas principal, et elles sont tout aussi bonnes dans la boîte à lunch pour le lendemain.

Pour apprêter les saucisses, sachez que vous pouvez utiliser presque que n’importe quelle poêle : antiadhésive, en acier inoxydable ou en fonte, et que le résultat sera sensiblement le même. Nous conseillons la poêle en fonte car elle distribue mieux la chaleur, quoiqu’elle prenne un peu plus de temps à réchauffer.

 

Voici nos 5 trucs infaillibles pour cuire vos saucisses à la perfection dans une poêle.

  • Ne faites pas bouillir les saucisses.

Faire bouillir les saucisses avant une cuisson à la poêle laissera échapper les arômes et saveurs du produit. Les saucisses deviendront fades et les épices soigneusement choisies ne seront plus perceptibles au goût. Il n’est pas nécessaire de faire blanchir les saucisses au préalable, car elles cuisent rapidement à la poêle seulement.

 

  • Ne piquez pas les saucisses.

Utilisez plutôt des pinces ou vos mains pour manipuler les saucisses. En piquant les saucisses avec une fourchette ou un couteau, vous créerez plusieurs entailles qui laisseront passer les saveurs pendant la cuisson, qui se perdront alors dans la poêle.

 

  • N’utilisez pas de corps gras dans votre poêle.

Il n’est pas nécessaire d’ajouter du beurre ou de l’huile dans votre poêle avant la cuisson. Effectivement, le gras naturellement présent dans la saucisse va s’échapper durant la cuisson, ce qui empêchera le produit de coller dans la poêle tout en gardant les saveurs et en donnant à la saucisse une belle couleur dorée.

 

  • Ne collez pas les saucisses les unes sur les autres pendant la cuisson.

Il est important de laisser un espace entre chaque saucisse dans votre poêle pour pouvoir les retourner et ainsi les faire cuire uniformément. Vous voulez qu’elles soient bien colorées et caramélisées sur toutes leurs faces pour un meilleur goût sous la dent.

 

  • Ne faites pas trop cuire les saucisses.

Une saucisse trop cuite va perdre ses jus de cuisson et n’aura pas la tendreté désirée. Nous recommandons de faire cuire les saucisses de 10 à 15 minutes ou jusqu’à ce qu’un thermomètre à viande indique une température interne de 60°C à 65°C (140°F à 150°F). À cette température, le produit sera tendre et juteux et vous pourrez goûter toutes les épices à chaque bouchée.

 

La technique est aussi présenté dans ce vidéo :

 

 

En résumé, lorsque vous préparez des saucisses à la maison, manipulez-les toujours avec soin avant et pendant la cuisson pour ne pas percer l’enveloppe (boyau végétal) des saucisses afin de garder les saveurs à l’intérieur. Aussi, il est préférable de débuter la cuisson dans une poêle bien chaude, sans huile ni beurre, à feu moyen-élevé. Après 1 minute, baissez le feu à moyen pour cuire le produit de 10 à 15 minutes en le roulant souvent dans la poêle. À la fin de la cuisson, laissez reposer les saucisses environ 5 minutes avant de les servir, elles seront gorgées de saveurs et bien juteuses.

 

Si vous dégustez nos formats combo de 2, 5 ou 6 saveurs différentes, assurez-vous de ne pas mélanger les saveurs pour pouvoir facilement les distinguer lors du repas. Vous pouvez aussi tester votre palais et tenter de reconnaître les saveurs par leur couleur, texture et goût.

Les saucisses sont amplement goûteuses pour pouvoir les manger telles quelles, mais rien ne vous empêche d’agrémenter les saucisses de sauce ou trempette pour en rehausser les saveurs.

Voici quelques idées pour accompagner nos saucisses préférées :

  • Toulouse avec une sauce aux tomates
  • Italienne forte avec moutarde baseball
  • Italienne douce avec moutarde de Dijon
  • Jambon & érable avec une sauce aux canneberges
  • Mexicaine avec du guacamole

N’hésitez pas à nous partager votre combo saucisse/trempette préféré.

 

Bonne cuisson et bon appétit !

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La cuisson des saucisses au four

Votre cuisine peut rapidement devenir un fouillis si vous devez nourrir un grand nombre de personnes en même temps. Les saucisses fraîches sont une belle option quand vient le temps de fournir de la nourriture en grande quantité de par leur faible coût, leur multitude de saveurs et leur rapidité d’exécution. Pour une dizaine de convives, si l’on compte 2 à 3 saucisses par personne, vous pouvez vous en tirer pour moins de 2$ par personnes avec nos emballages combo en promotion.

 

Pour passer le moins de temps possible dans la cuisine et utiliser moins de vaisselle, nous vous conseillons d’opter pour la méthode de cuisson des saucisses au four. La méthode est aussi simple que la cuisson à la poêle, mais elle permet de faire cuire une plus grande quantité en même temps. Voici comment procéder :

  • Préchauffer le four à 375°F et recouvrir une grande plaque à pâtisserie de papier d’aluminium.

Le papier d’aluminium empêchera les saucisses de coller sur votre plaque à pâtisserie, vous ménageant ainsi de la vaisselle. Les tapis de cuisson en silicone, alternative plus écologique, sont aussi efficaces.

  • À l’aide de vos mains ou de pinces, déposer les saucisses sur la plaque sans qu’elles ne se touchent.

Il est conseillé de ne pas utiliser de fourchette ni de couteau pour manipuler les saucisses puisque vous ne voulez pas abîmer l’emballage (boyau végétal) des saucisses. Ces boyaux servent à conserver tous les arômes et saveurs à l’intérieur de la saucisse pendant la cuisson. En perçant le boyau avant ou pendant la cuisson, les saucisses seraient moins tendres et leur goût moins prononcé car les jus de cuisson s’échapperaient. Aussi, il est important que les saucisses ne se touchent pas pendant la cuisson sinon elles pourraient se coller entre elles et il serait plus difficile de les retourner sans briser l’enveloppe croustillante qui enrobe le produit une fois cuit.

  • Cuire les saucisses dans le four préchauffé pendant 10 à 12 minutes.

Il n’est pas nécessaire de faire bouillir les saucisses avant de les mettre au four. Cela laissera échapper les saveurs, laissant les saucisses moins tendres et moins goûteuses.

  • Retourner les saucisses.

Vous pouvez retourner les saucisses 1 ou 2 fois pendant la cuisson afin d’obtenir une cuisson uniforme et que toutes les faces de la saucisse soient bien colorées.

 

À la fin de la cuisson, un thermomètre à viande inséré dans la saucisse devrait montrer une température interne de 60 à 65°C (140 à 150°F). Laissez reposer les saucisses environ 5 minutes avant de les servir, elles seront gonflées de jus de cuisson.

La méthode de cuisson est aussi présentée dans ce vidéo:

 

Pendant la cuisson des saucisses, nous vous proposons différentes recettes pour accompagner votre repas. Si vous êtes un groupe, n’hésitez pas à doubler ou tripler les recettes pour rassasier tout le monde.

 

Sandwich à la saucisse bacon & cheddar

Cornichons, bacon, cheddar fort dans un pain à sandwich frais, que demander de mieux ?

 

Sandwich à la saucisse échalotes & vin blanc

Une sauce dijonnaise maison et une compotée d’échalotes viennent rehausser les saveurs et épices de notre saucisse échalotes & vin blanc pour créer une hot dog haut de gamme !

 

Choucroute facile

Votre choucroute maison épatera vos invités par son goût, et vous serez épaté par sa simplicité.

 

Roulés aux saucisses et poivrons

Une recette sans casse-tête pour les plus jeunes !

 

Bonne préparation et bon appétit !

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Pain de viande festif

Chaque famille a ses classiques! Je ne connais pas la vôtre, mais chez moi il y avait la pizza de papa (tous les samedis soirs) et le pain de viande de maman. Mes parents devaient être heureux de préparer ces bons petits plats et de savoir qu’ils allaient se manger en un rien de temps.

Le pain de viande que nous préparait ma mère venait d’un gros livre jaune tout déchiré tellement il avait été aimé. Vous le connaissez peut-être, il s’agit de l’Encyclopédie de la cuisine canadienne de Jehane Benoit. On trouvait de tout dans ce livre, c’était le b.a.-ba de la cuisine des familles. Et à la page 98 (édition 1963), le très simple et ô combien moelleux pain de viande de ma mère. Une viande tendre et juteuse avec un petit givrage sucré, épicé et tomaté, c’était excellent!

Je trouve fascinant d’observer comment on peut aimer les grandes recettes élaborées quand on va au restaurant et trouver réconfortant et agréable un plat d’une si grande simplicité à la maison. Car il faut se l’avouer, l’origine du pain de viande en est une des plus modestes. De nombreux pays en possèdent une version, très souvent avec des restes de viandes, des abats, des épices et du pain. Un peu à la façon du haggis écossais. Chez nous, la recette nous est parvenue avec l’arrivée des Français, puis s’est modifiée avec celle des Anglais pour finalement devenir un plat très québécois autour des années 1920-1930. Durant la guerre et la crise économique, la viande se faisait rare, mais il fallait tout de même manger, alors pour offrir un repas nourrissant, les mères ont eu l’idée d’ajouter des œufs, du lait et du pain ou des céréales à leur mélange de viande et d’épices. Le pain de viande familial était né1.

Il a beau être simple, encore faut-il savoir bien le préparer, car sinon, il deviendra sec et désagréable en bouche.

Jehane Benoit proposait d’utiliser de la viande de bœuf pour son pain de viande. Ma mère ne l’a jamais fait. Ah oui, une fois, pour se rendre compte qu’elle ne le ferait plus jamais. À moins de prendre une viande hachée de bœuf plus grasse, le résultat sera plus sec. Le veau haché donne d’excellents résultats, et le porc haché aussi. Si vous souhaitez utiliser une viande blanche, optez pour le poulet haché au lieu de la dinde pour la même raison que ci-dessus : la texture une fois cuite. Pour relever facilement le goût de votre pain de viande, incorporez une portion de chair à saucisse de votre choix à votre viande hachée. Vous verrez, c’est délicieux!

Le choix de la viande compte pour beaucoup, il est vrai, dans le goût et dans la texture, mais ce qu’on y ajoute pour créer l’homogénéité du mélange le rend incomparable! Chapelure, avoine, céréales de maïs ou pain frais, c’est selon votre inspiration. Le secret, c’est de les laisser baigner et s’imprégner complètement du lait avant de les incorporer au mélange de viande. Un jour, en voulant aller vite, j’ai versé le lait sur la chapelure et attendu que le pain soit simplement humecté avant de le mélanger à la viande et l’enfourner. Le résultat m’a démontré que l’art de la cuisine prend du temps. Mon pain de viande avait une texture granuleuse au lieu de moelleuse. Il était bon au goût, mais pas autant que d’habitude. Il est important de laisser le pain ou la chapelure se gorger de lait ou de crème avant de l’ajouter au reste des ingrédients.

Les épices aussi ajoutent du caractère à votre œuvre. Outre les oignons et l’ail, nous possédons, de nos jours, une variété impressionnante d’épices, ce qui nous donne l’embarras du choix au moment de la création d’un plat. Avec les viandes rouges, pensez marjolaine, origan, thym. Pour le porc, osez le cari, la coriandre, la sauge. Si vous aimez mieux le veau ou le poulet, essayez l’origan, le paprika, la ciboulette ou l’estragon. Vous verrez, ils font des délices!

En ce qui concerne la fameuse sauce qu’on verse sur le dessus du pain avant sa cuisson, elle a une fonction bien plus importante que le simple fait d’ajouter de la couleur et du goût : elle protégera votre viande de la sécheresse durant son long passage au fourneau. C’est pour cette raison qu’on y ajoute souvent un peu de moutarde sèche, car la moutarde possède la propriété d’aider à empêcher l’évaporation des liquides. Elle crée une barrière protectrice. La traditionnelle sauce se fait avec du sucre, des épices et des tomates ou une préparation de type ketchup, mais il suffit de naviguer un peu sur Internet pour découvrir la variété actuelle de sauces qui pourraient donner un petit air de fête à ce plat, somme toute, assez banal. Que diriez-vous de le napper d’une sauce aux champignons sauvages ou aux trois poivres, ou de le faire gratiner? De le préparer « à la mexicaine » avec un mélange d’épices pour chili dans la viande et une sauce de style salsa? Ou encore d’insérer en son centre votre fromage préféré avant de l’enfourner? Avezvous pensé à y mélanger des fruits? J’ai en tête une recette de porc et de pommes avec une sauce à l’érable… mmm… Avouez que je vous ouvre l’appétit, non?

Le pain de viande cuit lentement et longtemps au four traditionnel ou à la mijoteuse. C’est ce qui lui donne sa texture agréable et qui permet aux épices de développer leur plein arôme. Au four, à feu moyen, il est prêt en 60 minutes environ si on le met dans un moule à pain traditionnel et 56 heures dans la mijoteuse à feu doux.

Si, comme moi, vous aimez expérimenter et que vous souhaitez déguster un mélange de saveurs pour une occasion spéciale, disons, un repas de Noël, pourquoi ne pas préparer un pain de viande en forme de bûche? Je l’ai fait! Et c’était délicieux! J’ai choisi de la dinde (tradition oblige), du porc, du bœuf haché ainsi que de la chair à saucisse italienne. J’ai modelé la chair à saucisse afin d’en former un rouleau que j’ai déposé au centre de la section dinde. J’ai ensuite mis le tout sur un étage le bœuf afin de créer un beau contraste de couleur et j’ai terminé ma roulade avec une couche de porc. J’ai ainsi obtenu une magnifique bûche de Noël de viande qu’il me restait à faire cuire et à napper d’une sauce à l’érable. Bon, c’est plus facile à écrire qu’à rouler, mais le résultat vaut le travail, croyez-moi! C’était magnifique une fois tranché dans l’assiette de présentation, délicieux et agréable en bouche. Les épices de la saucisse avec le doux goût de la dinde et la glace sucrée, mmmm…!

La beauté du pain de viande c’est qu’on peut, le lendemain, s’en faire un sandwich, un burger ou le manger avec une salade! Si jamais vous en aviez des restants, je vous parie qu’ils ne resteront pas dans votre frigo longtemps! Bon appétit!


1 Michel Lambert dans son livre Histoire de la cuisine québécoise.

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Pour l’amour du pâté chinois!

Comment ça se passe chez vous, la préparation des soupers? Chez moi, c’est parfois un véritable casse-tête! Il faut dire que j’ai un garçon à tendance végétarienne, un deuxième essentiellement carnivore et un homme qui oscille entre le paléo et le kéto! Évidemment, y en a toujours un à qui le repas ne convient pas! Sauf quand je prépare du pâté chinois. Allez donc savoir pourquoi! Ce « plat national québécois », selon le journal Le Devoir, n’est ni végétarien, ni paléo, ni kéto et pourtant il fait l’unanimité à tout coup! Il faut dire qu’au fil des ans, j’ai su améliorer à ma façon le traditionnel « steak, blé d’Inde, patates » pour lui donner un air de fête!

Le pâté chinois n’a jamais été mon mets préféré. Quand je mangeais celui que ma mère préparait, je le trouvais sec et sans goût. J’y ajoutais une tonne de ketchup pour le rendre agréable en bouche (désolée maman, tu fais, de loin, la meilleure tarte aux pommes de l’histoire des tartes aux pommes, mais côté pâté chinois, on repassera). Vous devinez donc que dans ma vie de jeune couple, le pâté chinois n’était jamais au menu. Il avait été relégué quelque part dans un coin sombre de ma mémoire. Quand je suis devenue maman à mon tour et que j’ai commencé à chercher des plats nourrissants qui combleraient les appétits sur plusieurs repas, il est soudainement réapparu… comme par magie!

Je me souviens encore de la première fois où j’ai préparé un plat de pâté chinois. C’était bien avant les préoccupations végétariennes de mon plus vieux et les essais culinaires de mon amoureux. Les enfants le mangeaient en silence… et ils en ont même redemandé. Pourtant, c’était bel et bien la même recette que ma mère nous préparait. Je n’en revenais pas. Qu’est-ce qui rend un mets si simple aussi populaire?

Est-ce les ingrédients? Est-ce sa facilité de préparation? Son faible coût? En fait, c’est peut-être un peu de tout cela! J’ai donc tenté, au fil de mes préparations, de le transformer afin de le rendre plus goûteux, sans toutefois le dénaturer. (J’aime bien quand les enfants mangent sans rechigner!)

J’ai donc entamé sa métamorphose en le faisant gratiner avec un mélange de cheddar et de mozzarella, question de tester ma nouvelle idée. Yes! Étape 1 réussie! J’ai ensuite tenté la même expérience, mais cette fois avec du Reblochon (j’ai toujours aimé le goût du fromage avec celui des pommes de terre). Quoi faire maintenant avec cette viande assez fade? Et si je la préparais avec une bonne sauce brune? Et là, je ne vous raconte pas tous mes essais! Avec ou sans champignons, sauce du commerce, sauce maison, sauce BBQ ou plus épicée, bref, j’ai laissé aller mon imagination et j’ai obtenu des résultats somme toute assez concluants. J’ai même osé proposer des versions végétariennes avec des lentilles ou du tofu fumé émietté. Une fois la surprise passée, ils ont adoré! Ma version préférée est celle dans laquelle je remplace le bœuf haché par de la chair de saucisse : une texture similaire, mais un goût qui sort de l’ordinaire. Ce qu’il y a de bien avec les saucisses, c’est la variété qui s’offre à nous! On peut donc en faire pour tous les goûts!

 Pour l’amour du pâté chinois! 

Je me souviens d’avoir déjà essayé une version cocktail avec une rondelle de saucisse, une mini galette de maïs et une noisette de pomme de terre en purée. Aussi, à Noël, j’ai tenté une version pour le moins originale dont j’avoue être assez fière. Après avoir fait cuire des pommes de terre au four, je les ai coupées en deux et vidées. J’ai mis la chair en purée avec du fromage à la crème. Par la suite, j’ai garni les pelures de viande hachée, de maïs et de pommes de terre que j’ai ensuite fait gratiner. C’était succulent et amusant à la fois. Mes invités ont trouvé l’idée intéressante, mais mes enfants m’ont dit préférer la version plus traditionnelle.

Parlant de tradition, saviez-vous qu’on ne connaît pas réellement l’origine du pâté chinois? Jean-Pierre Lemasson y a même consacré un livre entier en 2009, Le mystère insondable du pâté chinois. C’est fou, non? On lui reconnaît des cousins dont le hachis parmentier français, le shepherd’s pie écossais ou le cottage pie britannique, mais son origine est floue et plusieurs hypothèses se bousculent au portillon.

La première souvent citée est celle des ouvriers majoritairement asiatiques qui auraient été nourris essentiellement de bœuf, de pommes de terre et de maïs durant la construction du chemin de fer pancanadien au 19e siècle.

Selon une autre théorie, le mets serait un dérivé de la China pie, spécialité locale de la ville de South China, dans le Maine, où de nombreux Canadiens français auraient séjourné au 19e siècle quand le travail manquait de ce côté-ci de la frontière.

Certains évoquent aussi le pemmican comme ancêtre du pâté chinois : un plat de viande, de gras et de petits fruits séchés. D’autres s’amusent à penser que le pâté d’échine de porc, de blé d’Inde et de navet des débuts de la colonie en serait l’origine. De pâté d’échine à pâté chinois, il n’y a qu’un pas!

Moi, c’est vraiment le mot « chinois » qui me chicote, pas vous? Avec du maïs, j’aurais appelé cela « pâté amérindien » ou quelque chose du genre… Mais pourquoi « chinois »? À cause de sa couleur? À cause de la ville de Lachine qui a été baptisée ainsi à la suite d’une expédition quelque peu manquée de Cavelier de La Salle et d’où le fameux pâté chinois pourrait être originaire?

Peut-être que la réponse est encore plus simple que tout cela, mais nous ne la connaissons pas, du moins pas encore!

Bref, vous penserez à tout cela la prochaine fois que vous cuisinerez un hachis parmentier agrémenté de maïs. Je suis curieuse de savoir quelles sont vos recettes familiales. Quel petit détail en fait le délice de votre famille? Mon beau-papa, lui, le mange toujours avec des marinades, du ketchup aux fruits ou du ketchup aux zucchinis. N’hésitez pas à nous partager vos idées et suggestions et… bon appétit!